"[…] Malgré ma Maladie de cette hiver/ j’ai beaucoup travailler. Mais la vie de/ Paris me fatigue beaucoup. Ma santé/ n’ai [est] pas encore ce que j’était auparavant/ enfin pourvu que je peut rendre mes rêves/ et de temps a autres aller vers cette divines forêts quelles beauté! […] ici il y a eu de grand changement. nous/ avee [avons] transformé la grand[e] pièce/ pour avoir plus de place pour les tableaus. […] J’ai un grand pastel [...] et puis un grand portrait de Maryke/ d’un composition étrange et rare. rappéllant/ quelques poêmes de Beaudelaire. [...]" [sic] (... Despite my illness this winter I have worked a lot. But life in Paris greatly exhausts me. My health is not as good as it was before. Well as long as I can achieve my dreams and go from time to time to this divine forest, what beauty. … Big changes were made here. We have transformed the large room to have more space for the paintings. … I have a large pastel: ... And then a large portrait of Maryke, a strange and rare composition recalling some poems of Baudelaire. ...) (Philippe Smit 1922)
See biographical note on Marijke Pitcairn.