"[…] hélas je n’ai pas/ beaucoup travailler. J’ai fait en Amerique un portrait de fillette/ dont hélas je n’ai pas encore de foto. des Fleurs. copie de la merveilleuse/ statue de bois du XII, que j’avais dans mon atelier et que/ je considère comme une des merveille de la sculpture de/ ces époques, et pour la naissance de la petite Miriam j’ai faite/ un Ange portant des fleurs, pastel, et quelques dessin et ici en France/ nous sommes dans un très jolies petit village, j’ai fait un pastel/ de la petite Eglise Romane, qui a une poësie la contré[e] est très/ belle j’espère avoir le plaisir de te voir ici, et un grand/ portrait de Madame Pitcairn dans le parc. […]" [sic] (Philippe Smit 1928a)
La statue en bois d'un apôtre, français, 12e siècle, présentée dans ce tableau faisait partie de l'ancienne collection Theodore Pitcairn.1 Le 19 septembre 1924 Pitcairn transfère 10.000 florins à Philippe Smit qui a servi probablement d'intermédiaire dans cet achat.2
1. cf. Theodore Pitcairn, "My Lord and my God", New York, 1967, jaquette & pl. [p.301].
2. "Theodore Pitcairn, Ledger Account", copie tapuscrite (archives Glencairn).