"[…] j’ai peu travailler, j’ai fait/ un grand pastel de gênet en fleur dans la vallée/ de Recloses contre une collines profonds de couleurs/ avec un Anges [fig. 1] pour sollanellisé [solenniser] encore davantages émotion/ de la natures. J’ai beaucoup de pensée mes [mais] les derniers temps/ J’arrive à peu de resultat, enfin patience […]" [sic] (Philippe Smit, 1928d)
Il semble que ce pastel, comme l’Ange du Crépuscule [PS 353] et Deux bouleaux [PS 256], ait été sélectionné au tout dernier moment pour l’exposition à la galerie Maurs1 car il ne figure pas dans le catalogue alors que pourtant il se trouve dans le camion transportant les œuvres. Faute d’autres indications, l’accident dont les divers inventaires parlent (voir ci-dessus) coïncide certainement avec celui du camion2. Bien que le rapport de sinistre n’indique que des "rayures"3 c'est lors de la restauration nécessaire du pastel que le peintre a dû remplacer l'ange (Lotty) par des genêts en fleur et des rochers.
1. Voir 1948 Maurs.
2. Idem.
3. "scratches" ("Statement of the damage caused at Plessis-Chenet …", n.d. [1948], 4 pages dactylographiées, p. 2, archives LNC).